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Le compositeur, chef d’orchestre et pianiste italien Ferruccio Busoni transcrit méticuleusement les célèbres œuvres pour orgue de J.S. Bach. Il réalise rapidement qu’il lui faut des notes de basse supplémentaires afin de rendre justice aux chefs-d’œuvre de Bach et à l’immersion sonore des tuyaux de 16 à 32 pieds que l’on trouve dans un orgue. Ludwig Bösendorfer relève le défi et construit le premier prototype doté d’une tessiture complète de 8 octaves.
Non seulement Busoni commence à apprécier les qualités exceptionnelles de ce piano – plus tard nommé Imperial Concert Grand –, mais Bartók, Debussy et Ravel composent également des œuvres exploitant la résonance impressionnante de cet instrument unique. Ces œuvres ne peuvent être jouées et interprétées fidèlement que sur ce Concert Grand.
Évoquant un son extraordinaire – à la fois profond, riche en expression et en résonance –, le timbre de l’Impérial semble orchestral. Les notes de basse supplémentaires résonnent avec chaque touche frappée, et la table d’harmonie massive soutient la projection de toutes les fréquences. L’Impérial de Ludwig Bösendorfer demeure à ce jour l’héritage précieux de la manufacture de pianos Bösendorfer : impressionnant par son son, imposant par son apparence.
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